lundi 5 janvier 2009

SOUFFRANCE et HARCELEMENT au TRAVAIL

Exposé de Gérard LECHA et Thierry FOULLON
le 6 janvier 2009

SOUFFRANCE ET HARCELEMENT AU TRAVAIL
DROIT AU TRAVAIL ET/OU DEVOIR DE TRAVAIL
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C’est en tant qu’enseignant-chercheur en sociologie des organisations et des institutions que je voudrais aborder le thème intitulé « Souffrance et harcèlement au travail ». Nous sommes censés, en effet, vous présenter ce soir, Thierry et moi, les grandes lignes de ce phénomène, sinon nouveau, du moins qui se développe de plus en plus d’une façon, pour le moins inquiétante en nos sociétés dites, on ne peut plus légèrement, postmodernes. Jargon, quand tu nous tiens !...
C’est donc à partir de situations plus ou moins vécues, plus ou moins éprouvées, que je voudrais vous inciter à vous positionner vous-mêmes lors du prochain débat quant à cette instrumentalisation plus ou moins mortifère des travailleurs manuels et intellectuels à laquelle nous assistons aujourd’hui, veuille ou non et qu’on s’en aperçoive ou non. (Pour ne pas s’en apercevoir, remarquez bien, il faudrait quand même avoir une sacrée couche de peau de saucisson sur les yeux !) Et si je vous dis ça, aussi péremptoirement, c’est que j’ai été, quant à moi, professionnellement, très à l’écoute d’une façon impressionniste et empiriste tout à la fois d’une certaine progression dégénérescente des relations de travail si on veut bien m’accorder comme fondée au niveau de l’expression cette injonction paradoxale concernant les relations humaines telles qu’elles se vivent dans les entreprises et/ou institutions ou administrations. Et ce, toutes professions et/ou C.S.P. confondues depuis un bon quart de siècle.
Il faut dire que je me suis trouvé dans une situation privilégiée, par certains côtés, pour exercer cette écoute en étant enseignant en psychosociologie et en sociologie à l’Institut du Travail Social depuis voilà bientôt trente cinq ans et au département Formation Continue de l’Université François RABELAIS (ISUFOP –Institut Universitaire de Formation Permanente- puis SUFCO –Service Universitaire de Formation Continue-) pendant près d’une vingtaine d’années.
L’intérêt d’enseigner les sciences humaines dans un établissement comme l’I.T.S. tient surtout au fait que les étudiants (Educateurs spécialisés, Educateurs techniques spécialisés, Educateurs de jeunes enfants, Moniteurs éducateurs, etc.) suivent une formation en alternance, c’est-à-dire pour moitié à l’Institut pour suivre une formation dite théorique et, pour moitié, dans des structures diverses et variées appartenant au Secteur social et Médico-social lors de stages plus ou moins longs, pour exercer une formation dite pratique au milieu des professionnels en activité sur le lieu de stage que les étudiants (et étudiantes) ont le plus souvent choisi.
L’intérêt d’enseigner les mêmes sciences humaines dans le département Formation Continue (ou Permanente !) de l’Université devant des gens qui se destinaient à l’obtention du C.U.F.R.A. en deux ans et/ou du D.U.F.R.A. en trois ans (le CUFRA voulant dire : Certificat universitaire de Formation aux Relations humaines et à l’Animation de groupes, le DUFRA voulant dire Diplôme avec la même suite et ce diplôme permettant à ceux et celles qui l’avaient obtenu avec mention satisfaisante d’accéder au troisième cycle), l’intérêt de cet enseignement donc, c’était que notre auditoire n’était pas composé d’étudiants à part entière ; mais de stagiaires qui, hormis les journées de stage à l’Université, exerçaient leurs professions de cadres ou agents de maîtrise dans des entreprises et/ou des institutions aussi diverses que variées dans les Catégories Socio Professionnelles existantes.
Et ce qui a été le plus important pour moi à l’Université, en tant que chargé de cours, ce fut d’intervenir auprès de cadres et d’agents de maîtrise dans le secteur secondaire (usines, entreprises de productions multiples, etc.) et dans le secteur tertiaire commercial et des services administratifs (grandes surfaces, administrations territoriales comme la DDTE –Direction départementale du travail et de l’emploi- et/ou la DDE –Direction Départementale de l’Equipement- etc.) Ce qui m’a permis de sortir un peu de la spécificité du rapport (exposé grossièrement) : cadres de direction/cadres intermédiaires/employés sous étiquettes C.S.P. multiples mais appartenant toujours au secteur social et médico-social.
Seulement, ce que j’ai trouvé de commun, malgré les particularités, les singularités spécifiquement repérables selon les catégories socio professionnelles des différents stagiaires qui constituaient, à l’Université, des groupes pouvant varier entre une quinzaine et une petite trentaine de personnes, ce que j’ai trouvé de commun, c’est qu’en trois décennies (si l’on arrondit !) les témoignages d’un sentiment d’injustice et de souffrance au travail se sont multipliés en feed-back, (en Français dans le texte !) d’une façon exponentielle.
Ce phénomène se retrouvant à l’I.T.S. avec les étudiants mais aussi dans mes échanges de hasards avec d’anciens étudiants ou étudiantes aux prises avec quelque « leader cannibale » sur leurs lieux de travail. Ce qui leur rappelait forcément mon cours sur « leadership rayonnant et leadership cannibale ». On peut donc dire que trois générations, des vingt ans aux soixante ans en passant par les quarante, ont, très concrètement et empiriquement, une vision extrêmement critique du monde du travail.
C’est qu’on a pris l’habitude de cultiver sans vergogne aucune l’exploitation de l’homme par l’homme –et quoi qu’on en puisse dire au niveau des bonnes intentions !- les faits sont là et rien n’est plus têtu que les faits. Et lorsque l’on prend soin de se mettre à l’écoute de « ceux qui bossent », ce sont de curieux mots qui viennent frapper nos tympans : mépris de l’autre, exploitation –de l’autre !- (comme déjà évoqué plus haut), précarité, sexisme, racisme, caporalisme des petits (et moins petits) chefs, malhonnêtetés intellectuelles et/ou malhonnêtetés tout court de certains collègues –dirigeants ou subalternes, la belle affaire !- discriminations ouvertes ou sournoises, jalousies, fayotages fieffés et pistons avérés, népotismes institutionnalisés et… j’en oublie, c’est sûr !
Si je voulais faire dans le plus imagé d’ailleurs, au niveau de l’expression, je pourrais très facilement reprendre presque texto un aveu d’un jeune étudiant éducateur spécialisé de l’an dernier qui nous avait confié, entre autre : « Quand on entend certains anciens parler de l’équipe, ça nous rassure pas tellement sur son efficacité. Ainsi, lors de mon dernier stage, un professionnel qui faisait office de chef de service et qui avait trente deux ans de maison dans le C.H.R.S. où j’étais n’a pas hésité à nous dire, à l’autre stagiaire et à moi, son étonnement que l’on parle toujours à l’I.T.S. de l’équipe comme étant un outil de prédilection dans le travail social et avec une totale confiance. Il n’a pas hésité à nous dire, lui, pince sans rire : « Moi, je vais vous dire les p’tits jeunes… Dans les boîtes du social, le travail en équipe, ça eut payé, mais ça ne paye plus ! L’entraide, la solidarité, l’éthique, la déontologie, tout ça, c’est bon pour en parler dans les Colloques et Congrès, mais sur le terrain, c’est pas pour vous casser le moral, mais aujourd’hui, c’est « chacun pour sa gueule », alors faut pas se payer de mots et être trop naïf, trop confiant dans ce qu’on peut vous raconter, en théorie…
Faut surtout savoir jouer dans la dualité, savoir prendre la posture qu’il faut prendre au bon moment, et pas vouloir jouer à l’original en voulant appliquer quelque théorie ou savoir-faire théorique que ce soit » .
La « vertu pédagogique » d’un tel discours m’échappe un peu, mais ce qui n’échappe pas, en revanche, dans ce discours, c’est la prise de conscience d’un écart (qui peut être incommensurable !) entre le discours politico-managérial sur le travail (dont le nec plus ultra est sans doute le fameux « travailler plus pour gagner plus » de qui vous savez !) et l’exercice/expérience existentielle du travail sur le terrain, on la retrouve dans toutes les strates du monde du travail.
De cela, il va en résulter et se développer (durablement ?) un discours critique acerbe, radical et inépuisable de tout un chacun sur son propre travail, sur le travail en général et les innombrables injustices dont tout un chacun se sent victime.
Les dominants et dirigeants ont beau dire que, ce qu’il y a de bien avec le travail, c’est que lorsqu’il est bien fait, il permet surtout la réalisation de soi et l’intégration sociale ; les dominés et humiliés n’ont aucune raison qui les empêcherait d’évoquer en contrepoints leurs dures journées de labeur, leurs Troubles Musculo-Squelettiques qui ont été si bien stigmatisés par mon ami François LEBERT, dit le Joyeux Prolo, dans son chef-d’œuvre Anthologie d’un désespoir industriel…(1), leurs crises de stress à répétition, leur fatigue chronique doublée de multiples tensions, leur peur-panique d’une mise au chômage, toujours possible et sans crier gare, et même jusqu’à leurs blues du dimanche soir qui les fera aller, le lendemain, après avoir passé une mauvaise nuit quasi blanche, « à la job », comme disent les Canadiens, mais…à reculons.
On peut se demander pourquoi le travail, aujourd’hui, cristallise autant de sentiments d’injustices chez beaucoup de gens. Et là, je crois que pour le comprendre, on doit d’abord remonter aux éléments constitutifs de l’activité laborieuse des êtres humains dans nos sociétés dites démocratiques. Il est, en effet, admis dans nos sociétés dites aussi DE DROIT que le travail est, à la fois, un statut, une valeur d’échange et une activité créatrice. Et ce sont ces trois composantes qui sont censées renvoyer chacune à un principe de justice et d’équité.
1) Le statut.
En effet, c’est le statut qui implique un principe d’égalité d’accès dans la hiérarchie des positions tant sociales que professionnelles. Mais ce principe qui nous paraît « aller de soi », évident, peut être complètement détourné par des aigrefins de haute volée qui savent toujours se « faire passer pour » et/ou « se donner l’air d’avoir l’air » et savent, par là même, « tromper leur monde !»
Toute une partie de la presse et des médias audio-visuels ne manque pas d’ailleurs de « faire ses choux gras » des « exploits » d’une foultitude d’aventuriers, d’intrigants, d’arrivistes fieffés et autres rastaquouères qui font les avantageux à l’esbroufe.
Le monde politique et le monde des affaires et du commerce, le monde du sport, aussi étonnant que cela puisse paraître se montrent particulièrement disposés à ce genre de « détournement du principe d’égalité ». Mais cela ne veut bien évidemment pas dire que le secteur du travail social ou médico-social, par exemple, en soit tout à fait exempt.
2) L’échange.
Pour ce qui concerne l’échange, il se réalise essentiellement entre le travail et le salaire. Et nul n’ignore ici que la connaissance la plus scientifique qui soit des mécanismes opérationnels de ce rapport premier et élémentaire de l’échange dans notre système socio-économique dit, en langage abrupt, capitaliste, et en langage masqué et/ou postmoderne, néo-libéral ; cette connaissance, on la doit à un certain Karl MARX qui fut un peu aidé sur la fin par son compère Friedrich ENGELS, et on trouve tout cela dans un ouvrage volumineux et pas facile à comprendre du tout mais sacrément complet, et qui est intitulé Le Capital.
Seulement, depuis l’exposé de Philippe BRANGER la dernière fois, on sait qu’entre « travail » et « salaire », dans ce système capitaliste-néo-libéral, il y a toujours de la plus-value qui vient s’interposer et que cette plus-value, c’est toujours du « travail non-payé ». Et comme cela s’est complexifié avec le développement de la spéculation financière, de la mondialisation des affaires et du commerce, et de la marchandisation de l’humain instrumentalisé parallèlement aux biens matériels qu’ils soient naturels ou manufacturés, nous sommes plus ou moins revenus au mythe du Veau d’Or de l’Antiquité biblique, c’est-à-dire que l’on cultive aujourd’hui, avec ostentation, l’étalement de la richesse, de ce que permet l’Argent avec un grand A majuscule, au même titre que les Hébreux adoraient le Veau d’Or au pied du Mont Sinaï, avant le retour de Moïse, dans la Bible.
3) L’activité créatrice.
L’activité créatrice dans le travail professionnel, c’est bien entendu, « rien que du bonheur », comme on dit maintenant, puisque c’est ce qui permet au travailleur de se réaliser en travaillant et de se rendre utile aux autres en produisant des biens ou en proposant des services pour autrui. Seulement, bien souvent, ce sont les difficultés relationnelles au sein de l’entreprise, entre les autres membres du personnel et tout un chacun, qui vont venir entraver ce qui n’aurait pu être « que du bonheur » pour reprendre l’ expression déjà employée ; mais qui viennent, bien au contraire, apporter contrariétés, zizanies, affrontements, si ce n’est purement et simplement malheur et catastrophe. Ce qui va créer un mauvais climat et une montée de la tension pouvant conduire aux conflits plus ou moins larvés, plus ou moins ouverts avec leur part de psycho-terrorismes-sadico-pervers et les souffrances qui en découlent.
Or, on a vraiment commencé à parler, en France, de la souffrance et du harcèlement au travail avec la parution, il y a une dizaine d’années, du best-sellers de Marie-France HIRIGOYEN intitulé Le harcèlement moral et pour sous-titre La violence perverse au quotidien. Et comme je le dis dans mon petit ouvrage Du harcèlement moral ou Du harcèlement immoral ?
pas pour faire mon intéressant mais parce que c’est la vérité vraie, j’ai eu l’intuition d’un développement préoccupant de ce processus pervers, inique, destructeur et déshumanisant, environ dix ans avant que ne paraisse le best-sellers de Marie-France HIRIGOYEN.
Et il est bien vrai aujourd’hui que, depuis un quart de siècle, je me suis très facilement aperçu devant mes différents auditoires que les relations de travail se durcissaient et devenaient violentes, irrespectueuses, voire parfois iniques et sans foi ni loi, exemptes de la moindre éthique.
Dès la fin des années 80, en effet, j’ai pu constater que se développait un peu partout une sorte de « caporalisme new look » qui ne se gênait pas pour se parer de nouveaux concepts et inventer des expressions tout à fait logomachiques du genre « management participatif », par exemple.
Je disais déjà lors d’une conférence de Formation syndicale sur le thème du harcèlement, il y a un peu plus de cinq ans et demi : « Que d’asservissements manipulatoires –et néanmoins juteux pour certains !- dans des entreprises ou des institutions, vers les années 90 de l’autre siècle, sous prétexte et sous couvert d’instaurer un nouveau management, ce fameux « management participatif » ! (Op. cit. p. 16).
Si durant tout la décennie qui s’est déroulée de 1980 à 1990 il m’est apparu que notre société se délitait et devenait de plus en plus anomique, la décennie qui devait nous conduire à l’An 2000 fut loin de « redresser la barre » si vous m’autorisez à utiliser cette métaphore digne du Vendée-Globe.
Mais je viens aussi d’employer un adjectif qui appartient au jargon de la sociologie et que je me dois de vous expliciter un chouïa. Je vous ai parlé de notre société qui devenait anomique, et ce, de plus en plus, depuis deux décennies. Adjectif : anomique ; substantif : anomie. On parle d’anomie en sociologie lorsque, dans une société donnée, les règles et les principes affichés par cette dernière ont perdu tout pouvoir de contrainte et de prégnance sur les individus qui la composent. Si l’on suit l’étymologie, le mot anomie vient du grec ancien anomia qui veut dire : absence ou violation de la loi. Aujourd’hui, on peut aisément considérer que l’anomie est devenue une sorte de sida sociétal qui recouvre les sociétés humaines à l’échelle de la planète entière.
On sait qu’en médecine, un syndrome est un ensemble de plusieurs symptômes ou signes en rapport avec un état pathologique donné, et permettant par leur groupement d’orienter le diagnostic.
Dans le domaine qui nous occupe présentement, si le harcèlement dit moral est un syndrome, celui-ci relève conjointement de la psychologie sociale, de l’éthique personnelle et de la déontologie corporative, et enfin de la Loi, disons plutôt du juridique.
Pour faire court, on peut dire que ce règne de la violence perverse dans les situations de travail qui tend à se développer de plus en plus et… « sans état d’âme », comme disent souvent des gens qui, paradoxalement, croient à l’âme ; eh bien, ce règne de la violence perverse sur les lieux de travail est la résultante, comme je le disais dans mon petit livre, tout à la fois de l’injonction soixante-huitarde et post-soixante-huitarde « Il est interdit d’interdire ! », de la montée exponentielle du chômage et de la révolution informatique et de la robotique ; étant entendu que ces trois facteurs ne sont sans doute pas exhaustifs mais sont au moins fondamentaux. Et dans ce chaos, dans cette absence complète de repères raisonnés et raisonnables, il ne nous faut surtout pas oublier de nous en remettre aussi à cette grande vérité que l’on doit au grand psychosociologue trop tôt disparu, j’ai nommé Pierre DESPROGES, vérité qui disait : « Une des grandes joies de la vie, c’est d’humilier ses semblables ». Et ce n’est très certainement pas pour rien que Marie-France HIRIGOYEN a choisi d’ouvrir l’Introduction à son livre Le harcèlement moral (La violence perverse au quotidien) par la formule de Pierre DESPROGES que je viens de rappeler précédemment. Cette vérité anthropologique majeure formulée, on comprend mieux pourquoi on observe tant de foires d’empoignes pleines de bruits et de fureurs dans les milieux professionnels des entreprises et des institutions. On reviendra d’ailleurs plus en profondeur sur la banalisation et la normalisation de ce harcèlement immoral lorsqu’on abordera en mars prochain l’individu hypermoderne, selon Eugène ENRIQUEZ. Eugène ENRIQUEZ dont j’ai eu la très grande joie de faire la connaissance il y a quelques mois, grâce à une collègue. Collègue et néanmoins amie, ce qui prouve bien qu’il y a des exceptions…
Gérard Lecha
Tours, 22/27 décembre 2008.


(1) Anthologie d’un désespoir industriel…, par François LEBERT, préface de Gérard Lecha,
Editions du bout de la rue, 1, rue Marcelin Berthelot – 92170 - Vanves. 2006. 12Euros.



































Sommaire




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I – D’où j’ai observé ce phénomène…
1) A l’I.T.S. (Institut du Travail Social).
2) Au S.U.F.C.O. (Service Universitaire de Formation Continue de l’Université François RABELAIS).

II – Les discours à l’Ecole de Formation ou à l’Université et les exigences existentielles sur le terrain.

III – Du faux-semblant institutionnel au mal-être existentiel des personnels.
1) Le statut
2) L’échange
3) L’activité créatrice
4) D’un « caporalisme new look » et le « management participatif » (fin des années 80).
5) Les conséquences de l’anomie ici et maintenant.
6) D’une considération imparable de Pierre DESPROGES.
7) D’une approche inquiétante de l’individu hypermoderne selon Eugène ENRIQUEZ.
(Annonce de la soirée de mars prochain sur ce thème. G.L.)

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